ARCTIC RACE : DOUBLET AU CŒUR DE LA NATURE NORVÉGIENNE
LE CYCLISME ET DOUBLET : UNE LONGUE ET BELLE HISTOIRE
Spécialiste de l’événementiel sportif, Doublet a depuis longtemps fait ses preuves dans l’organisation de courses cyclistes. Tour de Dubaï, Paris-Roubaix, Championnats de France de cyclisme, Championnats du Monde de cyclisme sur piste, Tour du Yorkshire, Championnats de France de VTT… les références ne manquent pas. Partenaire technique du Tour de France depuis 2002, prestataire officiel de la Fédération Français de Cyclisme depuis 2014 : Doublet et le cyclisme, c’est une longue et belle histoire.
Alors quand Amaury Sport Organisation (organisateur du Tour de France) se lance dans l’organisation d’une course cycliste au nord de la Norvège, Doublet fait évidemment partie de ce nouveau chapitre !
« Nous accompagnons ASO sur cette course depuis la première édition il y a 6 ans, » témoigne Clément André, Chef de Projet chez Doublet. « Et nous gérons la pose/dépose de nos produits depuis 4 ans. »
En 4 étapes et 732 kilomètres, l’Arctic Race est la plus importante des courses cyclistes de Norvège. Et c’est aussi la course professionnelle la plus au Nord de la planète !
DOUBLET GÈRE TOUTE LA SIGNALÉTIQUE DE L’ARCTIC RACE
Les équipes Doublet conçoivent donc toute la signalétique de l’Arctic Race : arches gonflables, blocs mousses, adhésifs de sol, bâches des potences qui rythment le parcours… « Nous fabriquons aussi l’arche rigide de départ ainsi que la stèle du trophée de l’épreuve » indique Clément. « Ce sont des produits imaginés spécialement pour ASO, et pensés pour le cyclisme. Toutefois, dans cette région, les vents peuvent être très violents, nous devons donc fournir des produits très résistants. Ce genre d’événement nous permet aussi de tester nos produits en conditions réelles et extrêmes. Une fois de retour en France, nous pouvons ainsi réfléchir aux prochaines améliorations. »
Sur place, les Mens in Blue Doublet se divisent en deux équipes : 2 personnes gèrent le dispositif de départ et installent l’arche personnalisée. 3 personnes sont dédiées au dispositif d’arrivée : elles posent la ligne d’arrivée (adhésif de sol), installent et habillent les barrières, mettent en place l’arche de la flamme rouge qui matérialise le dernier kilomètre, habillent la zone protocolaire…
Le timing est serré, comme l’explique Clément : « tout dépend bien sûr des conditions météo et du lieu. En moyenne, le montage dure 3 heures pour le départ, 4 heures pour l’arrivée. Le démontage est toujours plus rapide : 1h30 pour le départ et pas plus de 45 minutes pour l’arrivée. »
AU-DELÀ DU SAVOIR-FAIRE TECHNIQUE, UNE VRAIE AVENTURE HUMAINE
L’édition 2018 de l’Arctic Race s’est déroulée dans le Finmark, la région la plus septentrionale de la Norvège. « C’est une région assez atypique », raconte Clément. « La plus grande ville que nous avons traversée comptait à peine 3000 habitants. La nature est préservée et sauvage, les paysages lunaires. Le plus surprenant, c’est peut-être les rennes en liberté qui traversent parfois les routes ! »
Les paysages ne sont pas les seuls à étonner. « Les conditions climatiques sont particulières elles aussi. Il fait entre 5 et 15 degrés mi-août, il ne fait vraiment nuit que pendant 1h30 à peine. Et je ne parle pas de la langue ! » sourit Clément.
Au-delà de la course, c’est donc une véritable épopée au cœur des traditions et coutumes norvégiennes qui attend nos Men in Blue Doublet chaque année. « Nous mettons en place une course dans une région très peu peuplée, avec peu d’infrastructures pour nous accueillir. Que ce soit les chambres d’hôtel, les locations de véhicules… C’est très enrichissant, car nous devons faire face à des problématiques auxquelles nous ne sommes pas confrontés d’habitude. » Heureusement, les équipes Doublet ne sont pas seules ! « Des intérimaires locaux nous accompagnent pour installer et désinstaller la signalétique pour chaque étape. En réalité, ce sont des jeunes qui effectuent leur service militaire, toujours obligatoire en Norvège. C’est super pour découvrir le pays, ne serait-ce que pour la nourriture car là-bas, le renne remplace le bœuf dans l’assiette ! »